Mercredi 22 août 2007
Parmi les choses que notre Gasparov adore dans la vie, il y a les bateaux et les pigeons qu'il appelle communément « oiseaux ».
Aujourd'hui était pour lui une journée merveilleuse puisque nous avons visité celle qu'il faut avoir vu avant de mourir : Venise. Et entre les touristes, on peut apercevoir quelques bateaux et pas mal de pigeons.
Nous étions excités comme des puces à l'idée de visiter cette cité merveilleuse. Et ce qui en ressort pour nous, c'est que Venise est une ville totalement paradoxale. Ulysse vous parlerait de ce paradoxe fou qui fait que les bateaux circulent partout dans les rues, mais que du coup, le port est constitué par un quai et des bateaux à sec. Rachel vous parlerait des bateaux-camions-poubelles, il est fou de voir les gens sortir de chez eux par une fenêtre pour sauter dans un bateau, prendre le bateau comme taxi ou bus (difficile d'expliquer à Gaspard que sa troisième passion : les bus, était ici fondue avec sa première), c'est génial.
Venise est merveilleuse. Ces canaux, ces petites rues, ces palais somptueux, cette beauté architecturale et historique elle est telle qu'on l'imaginait... et à la fois elle est horrible. Parce que jamais ailleurs nous n'avions vu une telle foule de touristes. Le peu d'espace terrestre explique sans doute cette impression d'étouffement. Du coup c'est Las-Vegas. Et on s'y ruine à peu près autant. Nous ne regrettons pas la ballade en gondole, nous avons en plus eu la chance de tomber sur notre gondolier au détour d'une place charmante et la promenade était enchanteresse, au point que Rachel s'est assoupie. Mais la décence m'empêche de vous en donner le prix, juste une indication : le pipi ordinaire dans les toilettes publiques coûte 1 euro à Venise... Quant aux pigeons, si l'on sait que j'y suis allergique, que je les déteste, et qu'ils grouillent à Saint-Marc, que le film « Les Oiseaux » m'a traumatisée, vous imaginez vite que j'ai failli me sentir mal.
Alors oui nous sommes heureux d'avoir vu Venise, nous pouvons mourir tranquilles, mais nous irons plutôt mourir ailleurs. Un peu plus loin.
Parmi les choses que notre Gasparov adore dans la vie, il y a les bateaux et les pigeons qu'il appelle communément « oiseaux ».
Aujourd'hui était pour lui une journée merveilleuse puisque nous avons visité celle qu'il faut avoir vu avant de mourir : Venise. Et entre les touristes, on peut apercevoir quelques bateaux et pas mal de pigeons.
Nous étions excités comme des puces à l'idée de visiter cette cité merveilleuse. Et ce qui en ressort pour nous, c'est que Venise est une ville totalement paradoxale. Ulysse vous parlerait de ce paradoxe fou qui fait que les bateaux circulent partout dans les rues, mais que du coup, le port est constitué par un quai et des bateaux à sec. Rachel vous parlerait des bateaux-camions-poubelles, il est fou de voir les gens sortir de chez eux par une fenêtre pour sauter dans un bateau, prendre le bateau comme taxi ou bus (difficile d'expliquer à Gaspard que sa troisième passion : les bus, était ici fondue avec sa première), c'est génial.
Venise est merveilleuse. Ces canaux, ces petites rues, ces palais somptueux, cette beauté architecturale et historique elle est telle qu'on l'imaginait... et à la fois elle est horrible. Parce que jamais ailleurs nous n'avions vu une telle foule de touristes. Le peu d'espace terrestre explique sans doute cette impression d'étouffement. Du coup c'est Las-Vegas. Et on s'y ruine à peu près autant. Nous ne regrettons pas la ballade en gondole, nous avons en plus eu la chance de tomber sur notre gondolier au détour d'une place charmante et la promenade était enchanteresse, au point que Rachel s'est assoupie. Mais la décence m'empêche de vous en donner le prix, juste une indication : le pipi ordinaire dans les toilettes publiques coûte 1 euro à Venise... Quant aux pigeons, si l'on sait que j'y suis allergique, que je les déteste, et qu'ils grouillent à Saint-Marc, que le film « Les Oiseaux » m'a traumatisée, vous imaginez vite que j'ai failli me sentir mal.
Alors oui nous sommes heureux d'avoir vu Venise, nous pouvons mourir tranquilles, mais nous irons plutôt mourir ailleurs. Un peu plus loin.
1 commentaire:
Tu m'étonnes, la fin des "oiseaux" m'avait aussi traumatisé... Mais bon, en voyant Garpard Place saint Marc, je n'y ai pas trop pensé, ca m'a bien fait rire de le voir courir ainsi...
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